Pour mon inspiration, j’ai laissé mariner mes idées et j’ai dessiné des petits croquis des personnages un peu partout quand j’avais de nouvelles idées. J’ai aussi fait des recherches sur ce qui était plus connu sur telle maladie, par exemple le TDAH qui semble être plus présentchez les hommes, ce qui est faux! En ajoutant une femme touchée par cette situation, ceci a pu briser les stéréotypes et montrer que tout le monde pouvait avoir un TDAH ou autre.
Mon but fut donc de sensibiliser les jeunes aux maladies mentales qui peuvent les toucher, telles que le TDAH, les troubles anxieux et la dépression, sous la forme d’histoires. Aussi, mon objectif était d'apprendre par moi-même l’organisation, la créativité et tous les autres acquis qui étaient nécessaires à mon projet personnel.
J’ai appris que je ne dois pas essayer de finir une histoire avant d’en commencer une autre, mais plutôt de toutes les commencer en même temps! De cette façon, si l’inspiration ne vient pas pour une histoire, elle viendra peut-être pour l’autre.
J’ai aussi appris beaucoup de nouvelles informations sur les troubles mentaux, comme par exemple, qu’une personne pouvait développer un TDAH après un traumatisme crânien.
Le défi que j’ai rencontré? La procrastination. Respecter les échéances que je m'étais moi-même mis était très faisable au début du projet, mais plus j’avançais, plus j’arrêtais de travailler sur mes histoires; au point où j’ai fini mon projet “très dernière minute” soit à 3 heures du matin! Ne faites pas comme moi...
Ce qui me rend fière est d’avoir enfin fini. Honnêtement, je ne suis pas satisfaite de mon projet, car je sais qu’il aurait pu être beaucoup mieux. Cependant, j’imagine que c’est tout de même une bonne chose que je n’aie pas décidé de tout abandonner et d’au moins l’avoir terminé, même si c’était à la dernière minute.
